Les recherches, menées par des scientifiques de l’INRA de Toulouse en collaboration avec l’Anses, le CEA-Université Grenoble-Alpes, le Luxembourg Institute of Science and Technology et SOLEIL (ligne DiffAbs), montrent que le TiO2 pénètre la paroi de l’intestin et se retrouve dans l’organisme. Des troubles du système immunitaire et l’apparition de lésions pré-cancéreuses dans le côlon ont pu être observées chez l’animal suite à l’ingestion prolongée de TiO2.
Les résultats ont été publiés dans Scientific Reports le 20/01/17.
Figure 1 : Nanoparticules de dioxyde de titane (E171) – © Inra, Toxalim