Geoffrey Bodenhausen
(Département de chimie, ENS, Paris, France)
Entre la RMN et la diffraction, la concurrence est inégale. Nous pensons à l'ordre des protéines repliées et au désordre des protéines intrinsèquement désordonnées (IDP). A la coexistence dynamique entre conformations dominantes et minoritaires. Aux effets de l’association et de la dissociation de complexes, ainsi qu'aux effets de ligands et de médicaments. La RMN en phase solide est-elle en voie de dépasser la RMN en phase liquide, mais aux dépens d’informations sur la dynamique ? Le passage obligé de l'attribution des signaux peut-il être simplifié par l'enrichissement isotopique sélectif ? Les signaux faibles de la RMN peuvent-ils être amplifiés par la polarisation dynamique nucléaire (DNP) ? Finalement, les inconvénients des très hauts champs peuvent-ils être atténués par la RMN à champs multiples ?
Formalités d’entrée :
Accès libre dans l’amphi du pavillon d’Accueil.
Si la manifestation a lieu dans le Grand Amphi SOLEIL du Bâtiment Central merci de vous munir d’une pièce d’identité (à échanger à l’accueil contre un badge d’accès)
Contact : Sandrine Vasseur