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Renouvellement de l’accord entre l’UPMC et SOLEIL

Le 9 Mars 2011, l'Université Pierre et Marie Curie (UPMC) et SOLEIL ont signé le renouvellement de l’accord-cadre régissant les collaborations bilatérales entre les deux organismes. Il s’agit du premier renouvellement de la première convention cadre signée entre SOLEIL et une université française (2004).

Témoignage d'un partenariat fort, six conventions spécifiques rattachées à cette convention cadre sont actuellement en vigueur, et deux supplémentaires sont en cours de négociation, entre SOLEIL et les unités de recherches suivantes : l’institut de Minéralogie et de physique des milieux condensés (IMPMC), l’institut des Nanosciences de Paris (INSP), le laboratoire de Chimie physique-Matière et rayonnement (LCP-MR), le laboratoire de Dynamique, interactions et réactivité (LADIR), le laboratoire de Réactivité de surface (LRS) ou encore la Fédération francilienne de mécanique (F2M).
L’une de ces conventions prévoit par exemple la participation de l’UPMC, avec la Région Ile de France et l’ANR, au financement d’un projet de plus d’un million d’euros, qui permettra la mise en place d’une station de mesure de spectroscopie de photoémission à « pression ambiante » sur la ligne TEMPO de SOLEIL (à lire prochainement sur ce site), un équipement exceptionnel pour la catalyse.

En parallèle de la collaboration scientifique de premier plan qui s’est nouée depuis plusieurs années entre les équipes de SOLEIL et de l’UPMC, ce type de conventions facilite encore la transmission d’informations via, par exemple, des participations croisées à des workshops, l’organisation de journées d’information thématique… Tout ceci facilite encore la compréhension des apports réciproques possibles : dès lors, les utilisateurs du synchrotron actuels et potentiels liés à l'UPMC connaissent de mieux en mieux les possibilités et les spécificités du panel de techniques offertes par SOLEIL, ce qui leur permet d’obtenir les temps de faisceaux dont ils ont besoin. Résultat : les utilisateurs liés à l'UPMC représentent près de 6% de la totalité des utilisateurs de SOLEIL, ce qui en fait le premier groupe d'utilisateurs français de SOLEIL.

Réciproquement, le principe de "l'association-inverse" permettra aux chercheurs de SOLEIL de collaborer avec l'UPMC sur des projets de l’Université en recherche ou en formation.  

De tels échanges sont exemplaires dans une démarche de partenariats scientifiques fertile, et c’est pourquoi SOLEIL travaille à les mettre en place avec toutes les communautés scientifiques qui pourraient tirer bénéfice de ses équipements et de son expertise.

Pour en savoir plus, contacter Jean-Pierre Caminade, chargé des partenariats à SOLEIL